Voilà un mois que je teste le OneBlade Pro, dernier né de chez Philips . Rasoir, mais aussi tondeuse, ce 2-en-1 de la beauté masculine est devenu indispensable dans ma salle-de-bain.
Je déteste me raser. Tu le sais, j’ai toujours de la barbe, plus ou moins courte. Pour moi rasoir est synonyme d’irritations et de boutons. Et de boucherie aussi. J’ai testé plusieurs marques, tant de rasoirs que de mousses à raser, et rien n’y fait, le résultat est toujours identique : ça pique, ça gratte, ça saigne.
Lorsque Sampléo m’a donné la possibilité de tester ce bijou de technologie, j’ai sauté sur l’occasion. Après tout, je n’avais rien à perdre, sinon quelques poils. Mon colis en main, je l’ouvre sans attendre et débute par la phase de charge. Le rasoir est électrique et il lui faut 1h de charge. J’en profite pour me plonger dans la notice et découvrir les caractéristiques du produit. 90 minutes d’utilisation ! Cette première info me soulage, je sais d’avance que cette heure de charge va me durer longtemps tellement je me rase peu. Un épisode de Marvel plus tard, le voilà chargé à bloc. Je fonce dans la salle de bain et commence alors la fastidieuse opération de rasage. Ou plutôt tonte, car je garde mes poils, je vais juste les raccourcir, et raser proprement les contours.
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J’enfile le sabot ajustable, il possède 14 hauteurs de coupe, de quoi convenir à la majorité des barbus. J’attaque ma barbe. Mais là je suis confronté à un problème. J’ai la barbe très épaisse et longue, surtout au niveau du menton. Mon essai à 4mm, pour une version barbe de 3 jours, est peut-être trop radical pour le rasoir. Bref, ça bloque. N’ayant pas envie de faire plusieurs passages à la tondeuse avec des hauteurs dégressives, j’enlève le sabot, j’attrape un peigne, et je le fais à l’ancienne. Et là, Ô joie, ça marche très bien.
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Une fois la barbe raccourcie, je dois définir les contours. En théorie je sais très bien ce que je veux obtenir, mais j’appréhende un peu car en pratique, le résultat a rarement été concluant et je finissais souvent par tout tondre sans sabot avec mon ancienne tondeuse. J’utilise donc le haut de la lame du OneBlade Pro, et successivement, je m’attaque aux contours des joues, des lèvres puis ceux du cou. Les bords de la lame, dentelés, sont recouverts d’un caoutchouc vert qui évite toute irritation. En quelques secondes les contours sont tracés, il ne reste plus qu’à raser les poils qui dépassent. Lame plaquée contre ma peau je me sépare des derniers poils disgracieux. Le rasage est quasi à blanc, vraiment très court.
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| Lame protégée |
Il m’aura fallu 7 minutes en tout et pour tout. J’éteins le rasoir qui affiche 92% de batterie restante sur son écran LED. Je le rince sous l’eau, car oui, la bestiole est étanche ! Aucun risque de faire un remake de Claude François. Je suis très satisfait du résultat. Ma barbe est bien taillée, j’ai réussi pour la première fois de ma vie à faire des contours nets. Quelques rougeurs sont présentes sur le cou, là où j’ai rasé mais disparaissent en quelques minutes. Mais rien d’étonnant, ma peau est encore plus sensible qu’une maman en plein baby blues… J’attendrai le lendemain pour me faire une idée finale du produit. Au réveil, direction Miroir Ô Mon Miroir. Pas de boutons. Produit validé !
Tandis qu’à l’heure où je vous parle les barbiers fleurissent comment les boutons au contact d’un rasoir sur ma peau, je suis stupéfait par l’issue de cette expérience. Bon nombre de mes amis ont adopté la barbe ces dernières années, mais beaucoup laissent le soin de l’entretien aux professionnels. Je conseille vivement l’OneBlade Pro aux moins habiles comme moi. Il existe une version classique de celui-ci, pour les petits budgets. Les lames durent environ 4 mois, la mienne devrait me tenir jusqu’à la rentrée. Très léger, vous pourrez le glisser dans votre valise lors de voyages. Bien que conquis, je ne me refuserai pas le plaisir d’un bon rasage à l’ancienne chez ma barbière préférée à l’occasion. Qui a dit qu’on n’aimait pas se faire bichonner nous aussi ? ;-)
Tu as testé le produit ? Tu as des questions ? Laisse un comm’ plus bas…
***CET ARTICLE N’EST PAS SPONSORISÉ***
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